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Projets de recherche DYSOLA

Liste des projets



Projets financés par l'ANR
 
  • Départementalisation de Mayotte : Construction et Traitement des Inégalités sociales et linguistiques (INEMA). Lire la suite>>>
 
Projets fédérateurs : nationaux ou internationaux
 
  • Le travail de prévention. Les relations professionnelles face aux risques cancérogènes.Lire la suite>>>
 
Projets nationaux ou internationaux
  • Maladie chronique et recours aux soins psycho-médico-sociaux : parcours de personnes vivant avec le SIDA/VIH. Une comparaison France-Belgique. Lire la suite>>>
  • La « fabrique des cadres » dans trois institutions de formation initiale : une école de commerce, une école d'ingénieur et une université. Lire la suite>>>
  • Les trajectoires de consommateurs d'alcool : une comparaison entre...Lire la suite>>>
  • Les conduites d'alcoolisation dans le monde étudiant : une approche en termes de processus. Lire la suite>>>
  • Santé reproductive et travail : la prévention des risques reprotoxiques chez les femmes Lire la suite>>>
  • Evaluation contrastive des implications sociales et linguistiques de la langue kurde comme langue d'immigration Lire la suite>>>
 
  • Santé reproductive et travail : la prévention des risques reprotoxiques chez les femmes.  Lire la suite>>>
 
Projets régionaux
  • Grand Reseau De Recherche Culture Et Societe En Normandie. Projet De Recherche Federatif. Familles Et Societe : Migration, Plurilinguisme, Genre, En Normandie Et Ailleurs. Lire la suite>>>
  • Formation, Qualification, Emploi en Normandie : Différenciation sociale et sexuée des parcours professionnels. Lire la suite>>>

Projets ANR

La Départementalisation de Mayotte : Construction et Traitement des Inégalités sociales et linguistiques (INEMA) (en cours)


Projet financé par l'Agence Nationale de la Recherche (ANR) : 2012-2015
Responsables scientifiques : Foued Laroussi et Elise Palomares


Le projet INEMA vise à étudier l'impact du processus de départementalisation de Mayotte sur la dynamique de production, de régulation, de transformation et de perception des inégalités sociales et linguistiques. Associant des anthropologues, des sociologues et des sociolinguistes, il vise à construire une approche pluridisciplinaire des inégalités, qui tire parti des développements récents de la sociologie de l'action publique par le bas et de l'analyse sociologique de l'intersectionnalité des rapports ethniques, de genre, de classe et d'âge. Il bénéficiera de l'expertise développée par les sociolinguistes et les anthropologues sur la situation mahoraise, tant sur le plan des inégalités linguistiques que sur celui de l'évolution des logiques de division et de hiérarchie sociales locales. Ainsi, INEMA s'inscrit principalement dans l'axe 4 de l'appel à projet (individu, société, institution) et secondairement dans l'axe 1 (la question des inégalités).

Vous trouverez les détails de ce projet ici>>>


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Projets fédérateurs : nationaux ou internationaux


Le travail de prévention. Les relations professionnelles face aux risques cancérogènes. (terminée)

 
Recherche financée par l'Anses (2008-2012)
Responsable scientifiques :
Arnaud Mias et Danièle Carricaburu

La région Haute-Normandie possède des traits spécifiques en matière de cancers professionnels. Elle se caractérise par une surmortalité générale forte. Les maladies professionnelles reconnues sont en augmentation importante dans la région : elles ont été multipliées par 6 entre 1995 et 2003. La proportion de cancers professionnels reconnus y est plus élevée que la moyenne nationale car la population salariée ne représente que 3% de l'effectif salarié français, et pourtant cette région compte 11% des cancers reconnus en maladies professionnelles. Comme ailleurs, la majorité de ces cancers est imputable à l'amiante (87%).


Il y a environ 37 000 entreprises dans la région qui emploient environ 420 000 salariés. La proportion des salariés de l'industrie est nettement supérieure à la moyenne : 29% contre 21,8% au plan national. Le raffinage, la chimie, la pétrochimie, l'automobile (et ses sous-traitants) et la métallurgie sont des secteurs très importants, qui occupent des dizaines de milliers de salariés. Enfin, on recense 74 établissements SEVESO 2 (dont 49 seuils hauts) dans la région. En plus de ces établissements, la DRIRE assure un suivi particulier de 25 établissements qui stockent et mettent en uvre des quantités significatives de produits dangereux.

Pour ces différentes raisons, étudier la question de la prise en compte du risque cancérogène dans les entreprises de Haute Normandie présente un intérêt indéniable et peut servir, au-delà de la situation locale, à mieux connaître non seulement ce que les différents acteurs concernés par la santé au travail construisent dans les entreprises autour du risque cancérogène, mais aussi comment ce risque cancérogène, qui est un risque différé, est spécifiquement appréhendé parmi les autres risques professionnels, dont la plupart peuvent avoir des conséquences beaucoup plus immédiates.


  • Publication d'un ouvrage

  • Rapport de recherche du projet Anses
    • Mias Arnaud (dir.), D. Carricaburu, Féliu F., Jamet L., Legrand E., Le travail de prévention. Les relations professionnelles face aux risques cancérogènes, Rapport de recherche, Anses, Février 2012.Lire la synthèse du rapport final ici>>>

  • Valorisation du projet Anses
    • Vous pouvez consulter les informations sur le colloque du 20 mars 2012 et les communications en relation avec le projet ici>>

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Projets nationaux ou internationaux


Maladie chronique et recours aux soins psycho-médico-sociaux : parcours de personnes vivant avec le SIDA/VIH. Une comparaison France-Belgique (en cours)

Projet doctoral financé par l'ANRS (2008-2012)

Responsable scientifiques : D. Carricaburu et Mr. Hubert
Doctorante : Maguelone Vignes

Cette recherche est issue du constat des transformations qui marquent l'épidémie de sida actuellement en Europe : le nombre de personnes séropositives augmente du fait de la chronicisation de la maladie et de la recrudescence des cas d'infection ; les personnes atteintes sont de plus en plus souvent dans des situations socioéconomiques précaires. Ainsi, pour de nombreuses personnes vivant avec le VIH, la vulnérabilité physique et psychologique devant la maladie vient amorcer ou renforcer la vulnérabilité sociale. En tant que maladie chronique, la séropositivité au VIH peut conduire les personnes atteintes à entreprendre un parcours long et complexe à travers différents lieux de soins psycho-médico-sociaux. Ce parcours est susceptible de se complexifier quand la personne se trouve en situation sociale de vulnérabilité.

L'objectif de cette recherche est d'identifier les parcours urbains de soins de personnes vivant avec le VIH et en situation de vulnérabilité sociale, à partir d'une part de l'expérience des personnes atteintes (1) et d'autre part des pratiques des professionnels des systèmes de santé et d'aide sociale (2). 1) Le parcours de soins éclaire la trajectoire de maladie d'une personne par un regard sur l'ensemble des mondes sociaux qu'elle traverse et sur les interactions entre ses différentes lignes biographiques (emploi, vie familiale et affective, etc.). Il s'agit de voir tout ce qui « fait soin » pour la personne, dans ses recours aux systèmes médico-sociaux et en dehors. Sur quels critères choisi-t-elle ses services de soins ? En quoi sont-ils influencés par des facteurs sociaux et spatiaux ? 2) Les pratiques des professionnels de santé et d'aide sociale susceptibles d'intervenir auprès des personnes visées contribuent à modeler les parcours.

À travers l'identification des parcours urbains de soins, il s'agit de comprendre d'une part la rencontre entre des personnes et les services qui s'adressent potentiellement à elles et d'autre part l'articulation de la prise en charge dans les domaines de la santé et du social. Les aspects innovants de cette recherche résident dans l'analyse d'un ensemble de données qualitatives recueillies auprès de personnes séropositives et de professionnels psycho-médico-sociaux, dix ans après la mise en marché en Europe des antirétroviraux. Cette analyse s'attache à comprendre les parcours de soins pas seulement dans une seule structure, mais plutôt dans un ensemble de structures de soins psycho-médicaux et d'institutions d'aide sociale, dans une perspective spatiale, soit la compréhension des usages sociaux de l'espace (ville et lieux de soins au sens large), dans une vision dynamique, à la fois diachronique et synchronique.

Pour ce faire, ce projet propose une comparaison France-Belgique entre les deux villes de Bruxelles et Rouen. Le recueil des données de terrain s'appuie sur deux méthodes : l'entretien qualitatif (méthode biographique et entretien semi-directif) ainsi que la méthode d'analyse en groupe. La recherche, qui s'appuie déjà sur deux années de travail, s'étendra sur deux autres années, dont la première sera réservée principalement à la collecte des données de terrain (à Rouen) et la deuxième à l'écriture de la thèse. Au moyen de la comparaison des parcours urbains de soins dans deux situations européennes proches, les facteurs influençant les parcours seront identifiés, dont les éléments liés au contexte (villes et systèmes sociosanitaires) et ceux liés aux spécificités locales de la prise en charge (offres de services). Cette analyse socio-spatiale sera nourrie de l'identification des points de bifurcation et séquences qui rythment les parcours de soins des personnes visées et de l'élaboration d'une typologie des recours aux soins. Enfin, la recherche dégagera les enjeux majeurs de la pratique professionnelle psycho-médico-sociale auprès des personnes vivant avec le VIH et en situation sociale de vulnérabilité.


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La « fabrique des cadres » dans trois institutions de formation initiale : une école de commerce, une école d'ingénieur et une université (en cours)

Financée par l'Apec (2011-2012)
Responsable scientifique : Jean-Louis Le Goff

Les discussions autour de la construction sociale du groupe des cadres et de son unité symbolique (Boltanski, 1982), de la contribution de l'enseignement supérieur (en particulier des grandes écoles) à sa reproduction sociale au sein des mêmes catégories de population (Bourdieu, 1989) sont largement connues, de même que le caractère « d'exception française », voire « d'énigme sociologique » (Gadéa, 2003) que revêt cette catégorie des cadres (Peretti, Cazal, 1995). Mais les cadres sont aujourd'hui affectés d'un certain nombre de transformations qui tendent à en changer les caractéristiques sociologiques tout autant que l'identité sociale :

[...]
Notre hypothèse de base est que cette « fabrication des cadres » supposera un « travail » sur les individus concernés qui sera de plus en plus important. De fait, si l'univers des cadres est en forte mutation, s'il n'est plus nécessairement aussi spontanément attractif ou sécurisant qu'il l'a été, si la figure sociale qu'il incarnait tend à être supplantée par d'autres, cette « fabrication » ne saurait se résumer à la transmission de savoirs ou savoir-faire nécessaires pour assumer une fonction de plus en plus flexible, ni même à l'acquisition d'un habitus (Bourdieu, 1979) permettant de se faire reconnaître et accepter par ses futurs supérieurs et pairs.

Elle supposera la mise en place de dispositifs d'accompagnement de plus en plus diversifiés et lourds qui, mis en place par les structures de l'enseignement supérieur, auront pour but de transformer des étudiants méritants en cadres employables. De fait, les stages, les aides à la recherche d'emploi, les tutorats, les visites d'entreprise, les scolarités flexibles, voire « à la carte », les démarches d'aide à la formulation d'un projet personnel et professionnel, les approches par projet, les cycles de conférences de découverte du monde professionnel, les scolarités par alternance ou apprentissage, l'incitation à l'implication dans la vie associative (parfois valorisée dans la scolarité ou assortie d'une « indulgence académique » accrue), etc. se sont multiplié dans ces institutions. Ils ont tous pour vocation, à côté des enseignements « classiques », de faire comprendre, mais aussi accepter et intégrer, les règles, le mode de fonctionnement, les exigences et les réalités de l'univers de destination des étudiants.


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Les trajectoires de consommateurs d'alcool : une comparaison entre deux publics d'étudiants

Recherche financée par l'IREB (2013)
Equipe de recherche : Yannick Le Henaff et François Féliu

Suite au travail initié l'année précédente, nous souhaitons prolonger notre démarche en proposant une comparaison sur un public qui, tout en restant proche du premier (des étudiants en sciences de sport), présente des différences non négligeables et pertinentes pour ce cadre d'analyse : les étudiants en faculté de médecine. L'hypothèse sous-jacente est que la structuration des études - entre autres facteurs - influence les consommations d'alcool, mais aussi la construction du rapport à celui-ci (Massé, 2002 ; OVE Rouen, 2011). Dans notre première recherche, nous avons pu montrer qu'il était possible d'appréhender ces consommations d'alcool à partir d'une approche processuelle, dans laquelle l'apprentissage est au cur de la construction de ce rapport (Le Hénaff, Routier, 2012). Des séquences peuvent ainsi être identifiées, constituant non des lignes de démarcation claire, mais davantage un outil analytique pertinent. Parallèlement, ces consommations (et plus largement la participation aux fêtes) devant être considérées comme des modalités de construction des identités, nous porterons un intérêt particulier à la dimension de genre.

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Les conduites d'alcoolisation dans le monde étudiant : une approche en termes de processus (Terminé)


Recherche financée par l'IREB (2012)
Responsable scientifique : Yannick Le Henaff

Dans la continuité de notre travail sur les variations des consommations d'alcool, nous proposons ici une démarche davantage qualitative. À partir des questionnaires distribués chez des étudiants STAPS de première et quatrième année du Mans, de Brest, de Rennes et de Rouen (en cours pour ces derniers), des individus présentant des variations conséquentes dans leur consommation d'alcool ont pu être ciblés. L'objectif est de leur proposer un entretien portant simultanément sur leur trajectoire universitaire et sur leur consommation d'alcool.

Dans une démarche pragmatique, nous chercherons à analyser précisément le travail d'identification qu'opèrent ces derniers pour désigner leurs conduites en matière de consommation d'alcool dans le temps. Leur réflexivité alimente la recherche, postulant que pour agir, chacun d'entre nous doit mobiliser un univers de significations : en d'autres termes, dire ce que l'on pense de l'alcool et expliquer comment l'on consomme renvoie à des univers symboliques que nous tentons de faire émerger. Par conséquent, notre volonté est de croiser ces « significations intimes » avec la « situation officielle de l'individu » (Goffman, Asiles, 1968, 179).

Cette analyse doit permettre de reconstruire des moments, incluant une dialectique de la récurrence/variabilité (Darmon, 2008), et de comprendre l'augmentation palpable de la consommation d'alcool dans l'entrée à l'université pour 4 étudiants sur 5, mais aussi l'évolution des manières de boire au fil des années d'étude, vers une diminution des « excès » en particulier (Le Hénaff, Routier, Héas, en cours). L'apprentissage étant au cur de cette « carrière », l'influence des groupes de pairs sera particulièrement questionnée, ainsi que les interactions sous-jacentes. Pour cela, ce sont les conduites qui seront ciblées, davantage que les traits d'identité, dans un premier temps au moins (Becker, 2002).

Le corpus d'enquête se basera donc sur une vingtaine d'entretiens, dans lesquels seront particulièrement interrogés les récits de vie et de pratiques (Becker, 2002 ; Bertaux, 2005).


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Santé reproductive et travail : la prévention des risques reprotoxiques chez les femmes

 Projet Coordonné par Emilie Legrand (Université du Havre)
Projet financé par l'Anses (2013-2015)

 

Equipe de Recherche et partenaires: Le projet associe des sociologues (D. Carricaburu, B. Jacques, E. Legrand, A. Meidani et A. Mias) spécialisés dans le domaine du travail et/ou de la santé qui assureront notamment l'enquête de terrain.
Plusieurs laboratoires se trouvent ainsi impliqués : le Dysola (Univ. Rouen), le CIRTAI/CNRS (Univ. Le Havre), Centre Emilie Durkheim/CNRS (Univ. Bordeaux), LISST-CERS/CNRS (Univ. Toulouse II).
Plusieurs partenaires, d'horizons institutionnels et disciplinaires divers et complémentaires qui participeront au projet, joueront un rôle central, en leur qualité d'expert, dans le cadre d'un comité de pilotage technique et scientifique :

  • l'ETUI, en particulier L. Vogel, juriste.
  • l'INRS, notamment D. Lafon, médecin du travail et toxicologue.
  • la Direccte de Haute-Normandie
  • l'ARS de Haute-Normandie

Présentation détaillée du projet

 

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Evaluation contrastive des implications sociales et linguistiques de la langue kurde comme langue d'immigration

Equipe de recherche Dysola : Salih Akin (coord.)

Les résultats de la recherche feront l'objet d'un colloque organisé des 23 au 25 mai prochain à l'Université de Potsdam.

Pour en savoir plus>>>


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Santé reproductive et travail : la prévention des risques reprotoxiques chez les femmes

Projet financé par l'Anses : 2012/2014
Responsable scientifique : Emilie Legrand

Il nous parait pertinent de mener une étude sociologique approfondie sur l'exposition des femmes aux risques pour la reproduction et à leur prévention en milieu de travail, à ce moment particulier de la trajectoire que constitue la grossesse (avant/pendant/après). Ce faisant, il nous semble que nous faisons écho à l'une des préoccupations actuelles des pouvoirs publics. En effet, la question de l'exposition aux substances chimiques, ayant des effets reprotoxiques, présentes dans l'environnement (y compris l'environnement de travail) fait l'objet d'une attention particulière depuis quelques années. En 2009, le ministère chargé de la Santé a par exemple demandé à l'Inserm une expertise des effets reprotoxiques de certaines substances connues71. Ministère qui, par ailleurs, soutient - ou a soutenu - un certain nombre d'études portant sur l'impact de polluants environnementaux sur la grossesse et le développement de l'enfant72 et a saisi différentes agences (comme l'Anses, l'Afssaps, l'INVS) pour initier la collecte d'informations afin d'évaluer les expositions et les risques lorsque ces substances sont présentes dans les produits à l'usage du grand public. Les différents plans, tels les plans national santé-environnement 1 (2004-2008) et 2 (2009-2013), proposent un certain nombre d'action en faveur d'une meilleure identification des produits reprotoxiques, de leurs effets, du développement de systèmes de surveillance, de l'expertise des risques, etc., auxquelles s'ajoutent une série d'actions pour réduire les inégalités environnementales et améliorer la protection de personnes dites vulnérables, à savoir les enfants, les femmes enceintes et les femmes en âge de procréer exposés aux CMR et aux perturbateurs endocriniens (PNSE 2). Quant aux plans national santé-travail (2005-2009 & 2010-2014), qui s'inscrivent en synergie avec les plans cancer et santé-environnement, ils mettent notamment l'accent sur la dimension de prévention des risques professionnels, dont (mais pas seulement) les CMR.

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Projets régionaux


Lire et écrire à l'école primaire

 Equipe de recherche du laboratoire : Véronique Miguel Addisu et Marie-Laure Devilliers

Le groupe de travail a été créé en novembre 2011 par Roland Goigoux et il réunit une soixantaine d'enseignants-chercheurs appartenant à treize équipes basées dans les universités de Bordeaux, Cergy-Pontoise, Clermont-Ferrand, Créteil, Grenoble, Lille, Lorraine, Lyon, Montpellier, Nantes, Rennes, Rouen et Toulouse. L'objectif du groupe est de produire des connaissances scientifiques nouvelles sur les conditions à réunir pour améliorer...Lire la suite>>>

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Grand Réseau De Recherche Culture Et Societe En Normandie. Projet De Recherche Federatif Familles Et Societe : Migration, Plurilinguisme, Genre, En Normandie Et Ailleurs(en cours)

 Axe thématique du GRR : Axe 3 Travail, Emploi, Formation

Mots-clés : familles, migration, acculturation linguistique, mixité, genre

Responsable F. Leconte
Co-responsable R. Delamotte
Doctorante E. Lebreton
Durée 2 ans 2012-2014

Ce projet entend étudier les questions sociales de la transmission et de l'appropriation des langues en contextes migratoires ou de mixité conjugale. Il a un ancrage pluridisciplinaire fort. Outre la sociolinguistique et la didactique du plurilinguisme, la sociologie et l'anthropologie culturelle seront aussi convoquées. Lire la suite>>>

Présentation détaillée du projet ici>>>


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Formation, Qualification, Emploi en Normandie : Différenciation sociale et sexuée des parcours professionnels (en cours)

IRSHS Haute Normandie : 2008-2012
Responsable scientifique : Sophie Devineau

Au sein des activités pluridisciplinaires de l'IRSHS de Rouen « Travail, emploi, formation » et du pôle pluridisciplinaire de la MRSH de Caen « Les données sociales et leur traitement », ce programme propose l'étude spécifique des enseignants de la maternelle à l'Université comme groupe professionnel au sein de la catégorie des cadres.

L'objectif vise à participer dans le cadre des recherches nationales et internationales à la constitution de connaissances sur ce groupe professionnel. Le terrain de l'enquête originale étant normand, les résultats de l'étude permettent une description riche de l'inscription des enseignants dans la région (Public/privé - genre - modes d evie - implication dans la vie locale -etc.)

Plus d'information sur le site web du projet FQE2 : http://fqe2.free.fr/present.htm


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